1. Je suis un malentendu, principal ressort du comique dans les comédies.

  2. Sans moi, les acteurs ne sauraient pas quoi faire sur scène.

  3. Je parle, je parle, mais mon interlocuteur me sert de faire-valoir.

  4. Dans la rue, je passerais pour un doux-dingue, mais au théâtre, j’exprime les sentiments profonds des personnages.

  5. Bien connu des élèves, je permet au spectateur de disposer de plus d’informations qu’un personnage.

  6. Au début de la pièce, je présente les personnages et l’intrigue.

  7. L’Avare en est un, Dom Juan un autre.

  8. Heureux ou malheureux, il est trop tard.

  9. J’ai une fonction dramatique au même titre que les personnages, pourtant je ne parle pas.

  10. Comme dans un film, il y a un temps pour tout : nous maintenons le suspens et l’attention des spectateurs.

  11.  Porté par les hommes ou les femmes, je les transforme en dieux et en déesses.

  12. Je suis construit autour du triangle femme/mari/amant ou maîtresse.

  13. Extrêmement codifiée, il faut que je me déroule en un même lieu, en 24 h et je n’ai le droit qu’à une action.

  14. Un élément du comique mais sans parole.

  15. Je peux tenir dans la poche ; c’est aussi un métier.

  16. Je découpe le temps en 2, 3, 4 ou 5 parties.

  17. Je correspond le plus souvent aux entrées et sorties des personnages.

  18. N’en faites pas un si vous ne me trouvez pas, pourtant le cinéma m’utilise pour faire pleurer la classe moyenne.

  19. Principales oeuvres de Molière.

  20. Je me suis fait l’écho des angoisses de mon époque.

  21. Les personnages fonctionnent toujours de cette manière (valet/maître, servante/maîtresse, barbon/jeune fille…)

  22. Il est de répétition, de langage, de gestes, ou de situation.

  23. C’est une jeune fille pure.

  24. C’est un jeune homme bien fait de sa personne et amoureux de la jeune fille pure.