Les blagues à Simon

Nuit de Noces d'un jeune couple de restaurateurs Chinois.

Elle se glisse vite sous le drap avant de jeter sa chemise de nuit par terre, et lui, fier et nu comme un ver :

- Chérie, c'est notre première nuit ensemble, et je veux que ça reste excellent souvenir toute ta vie ! Dis-moi si tu veux quelque chose de spécial et je m'exécuterai...

- Ouiii, j'ai envie quelque chose spécial, mais j'ose pas le dire

- Non, vas-y, pas honte, nous sommes mariés maintenant !

- Ok, ok, pas problème, pas problème... Je voudrais... un 69 !

- Comment ?

- Un 69 mon chéri s'il-te-plait.

- Maintenant ? Poulet gingembre avec brocolis ???

 

Partouze chez les bisounours ...

 

Le ministre de la santé visite un nouvel hôpital. De passage au service chirurgie, il aperçoit dans une chambre un homme en pleine masturbation.

- Que fait donc cet homme ? demande-t-il au chef du service

- Cet homme souffre d'une hypertrophie testiculaire congénitale. Il sera opéré demain mais en attendant, toutes les deux heures, il doit se soulager du surplus généré, répond le chirurgien.

La visite se poursuit. Quelques chambres plus loin, le ministre découvre avec stupeur une femme en train de pratiquer une fellation sur un homme.

- Mais qu'est-ce ... demande-t-il interloqué à son guide.

- Nous avons ici un patient qui souffre du même mal que le précédent ... Mais lui, il a une bonne mutuelle.

 

Un homme perdu dans la foret trouve la trace d'une maison où il est accueilli par un vieux chinois.

" Je suis perdu, pouvez vous m'héberger pour la nuit ? "

" Bien sûr, mais à une condition : si vous touchez à un cheveu de ma   fille, je vous infligerai les 3 pires supplices chinois connus. " En fait, au dîner,  il s'aperçoit que la fille est superbe et qu'en plus elle n'arrête pas de lui faire de l’œil. Mais, se souvenant de l'avertissement du vieillard, il préfère s'abstenir de quoi que ce soit. Cependant, au milieu de la nuit, il n'en peut plus. Il sort de sa chambre   et rejoint la jeune fille pour une nuit de folie. Puis, il retourne se coucher en faisant attention de ne pas faire de bruit. Le lendemain, il se réveille en sentant une pression sur sa poitrine. Ouvrant les yeux, il voit un énorme bloc de pierre posé sur son torse, avec, dessus, un post-it disant :

" Premier supplice chinois : grosse pierre posée sur poitrine ".

L'homme, un peu déçu, se dit que si c'est tout ce que le vieux a pu trouver de mieux, ce n'est vraiment pas terrible. Il prend le bloc de pierre, marche jusqu'a la fenêtre et le balance par la fenêtre. À ce moment, il aperçoit un 2ème post-it sur la pierre, disant :

" Deuxième supplice chinois : grosse pierre liée a testicule gauche ".

Pris de panique, il voit le fil, liant son testicule gauche à la pierre, se dérouler. Décidant que quelques os cassés valent mieux que la castration, il saute par la fenêtre. Alors, tombant vers le sol, il voit une pancarte posée à terre sur laquelle il y a écrit :

" Troisième supplice chinois : testicule droit lié au pied du lit ".

 

C'est un éléphant qui rencontre un serpent pour la première fois, il est très intrigue ... et lui demande ...

- mais dis moi comment fais tu pour avancer e tu n'as pas de jambes !!

- et bien, tu vois je rampes et cela me permet d'avancer ...

- ah d'accord !!!

et l'éléphant continue son chemin ...

Il est quand même encore intrigué par le serpent alors il revient sur ses pas et demande au serpent :

- mais comment fais tu pour te reproduire, tu n'as pas de couilles ?

- maaaaaaaaaaaaaaaaiiiis tu fais chier!!!!! je n'en ai pas besoin ...  je ponds des œufs et c'est comme ça, merde !!!! (pas très bon caractère le serpent, il faut dire ..........)

- ah d'accord ...

L'éléphant repart ... Mais toujours intrigué par le serpent il revient et demande :

- 'scuse encore une fois .. mais comment fais-tu pour manger tu n'as pas de trompeeee ?

- j'eeeeeeeen aii pas besoin ! %#%#&%#% ! ... j'ouvre la gueule comme ça ... super grand ...  et j'avale ma proie direct !!!!

- la vache quoi !!!!! (bon il est un peu con aussi l'éléphant, mais bon il est jeune, n'est jamais allé e l'école etc ...)

- ok ok ... mais alors ... Tu rampes ... T'as pas de couilles ... Tu as une grande gueule ... Tu serais pas chef par hasard ...

 

Un homme se plaint à son ami :

- Mon coude droit me fait vraiment mal. Je crois que je devrais aller voir un médecin.

Son ami de lui répondre :

- Ne fais pas ça! Il y a un tout nouvel ordinateur à la pharmacie du centre qui peut te diagnostiquer n'importe quoi, bien plus rapidement et pour beaucoup moins cher qu'un médecin. Tu déposes juste un échantillon d'urine, et l'ordinateur diagnostique ton problème et te dit ce que tu dois faire. Et tiens-toi bien, cela ne coûte que 50 balles !

Se disant qu'il n'a rien à perdre, l'homme remplit alors un petit récipient avec un échantillon d'urine, et se rend à la pharmacie. Il y trouve l'ordinateur en question, il place l'échantillon et introduit les 50 Francs. La machine se met alors à faire des tas de bruits bizarres, des tas de lumières commencent à clignoter. Après une courte pause, une petite bande de papier sort de la machine. Il y est écrit :

- Vous avez une tendinite au coude droit

- Trempez votre bras dans de l'eau chaude

- Évitez de le faire trop travailler

- Cela devrait aller mieux dans 2 semaines.

L'homme est totalement impressionné! Plus tard dans la soirée, alors qu'il repense à cette nouvelle technologie incroyable et à la façon dont elle pourrait révolutionner le domaine médical, il commence à devenir sceptique. Il se demande si la machine ne pourrait pas se tromper. Il décide alors d'essayer. Il mélange ainsi de l'eau du robinet, un peu d'urine de son chien, d'urine de sa femme et de sa fille. Par dessus le marché, il éjacule dans la "préparation".

Il retourne à la pharmacie, retrouve la machine, y place le nouvel échantillon et introduit 50 Francs. La machine, comme à l'habitude, fait du boucan et de clignote de partout puis imprime l'analyse suivante :

- Votre eau du robinet est trop dure - Faites installer un filtre.

- Votre chien a le tænia - Purgez-le avec un vermifuge adéquat.

- Votre fille se drogue à l'héroïne - Une cure de désintoxication s'impose.

- Votre femme est enceinte - L'enfant n'est pas de vous - contactez votre avocat.

- Et si vous n'arrêtez pas de vous masturber, votre tendinite ne risque pas de guérir un jour.

 

Deux femmes jouent au golf durant un après-midi ensoleillé. Quand soudain, maladroitement, une balle arrive sur un groupe d'homme. Un des hommes s'effondre, se serrant très fort les mains entre ses jambes. Elle se dirige vers lui en s'excusant et lui propose de soulager sa douleur étant donné qu'elle est kinésithérapeute.

" Je ne vous demande rien en échange, mais laissez-moi juste quelques minutes et tout ira mieux... "

Il répond toujours ses mains entre ses jambes. Elle défait doucement la braguette de son pantalon et pour apaiser la douleur commence à masser ses organes génitaux.

"Est-ce que vous vous sentez mieux ? " demande-t-elle.

"Bien... oui... ça va bien," admit-il. "Mais mon pouce me fait toujours un mal d'enfer."

 

Des décennies durant, deux statues, un homme et une femme, se sont fait face dans un parc de la ville. Un jour, un ange en mission spéciale quitte le paradis et se pose dans le parc. Il s'approche des statues et leur dit :

- Vous êtes des statues tellement exemplaires que je suis venu vous offrir une petite récompense. J'ai le pouvoir de vous ramener à la vie pour une durée maximum de trente minutes. Pendant ce laps de temps, faites ce que bon vous semble.

L'ange lance la procédure du miracle puis se met en attente sur un des bancs du parc. L'homme et la femme s'approchent l'un de l'autre d'abord timidement puis, soudain, s'élancent dans les buissons, d'où s'élèvent bientôt des gloussements, rires et bruits de branches cassées. Quinze minutes plus tard, les deux statues sortent des buissons, un sourire épanoui sur les lèvres.

- Il vous reste encore quinze minutes, les informe l'ange. La femme se tourne alors vers l'homme et lui dit :

- Waouhhh ! On remet ça ! Mais cette fois, c'est toi qui maintient le pigeon et c'est moi qui lui chie sur la tête.

 

M. Dubois fête ses 100 ans. Pour l'occasion, une grande fête a été organisée au village et un journaliste de la radio locale a été envoyé pour l'interviewer. Le journaliste se rend donc auprès de M. Dubois :

- Bonjour M. Dubois! 100 ans, le bel âge! Il s'en est passé des choses dans ce siècle : les guerres et toutes les avancées technologiques... ça laisse des souvenirs tout ça ! Dites-moi, quel est votre meilleur souvenir ?

M. Dubois réfléchit un moment, puis :

- Ah oui! C'était en 1914 !

- Que s'est-il passé en 1914 ?

- Eh bien la plus jolie fille du village s'était perdue dans la forêt.  Alors, avec les gars du village, on avait organisé une grande battue...

- Que s'est-il passé ensuite ?

- Et bien on l'a retrouvée tout en haut, mais alors tout en haut de la colline. On l'a tous niquée et on l'a ramenée !

- Mais M. Dubois!!! On ne peut pas raconter ça à la radio, voyons ! Que vont penser nos auditeurs? Bon! Vous avez bien un autre bon souvenir ?

- Ah oui! C'était en 1917 !

- Que s'et-il passé en 1917 ?

- Une des chèvres d'un des troupeaux du village s'était perdue dans la forêt. Alors, avec les gars du village, on avait organisé une battue...

- Que s'est-il passé ensuite ?

- On l'a retrouvée tout au fonds, mais alors tout au fonds du ravin... Alors, on l'a tous niquée et on l'a ramenée !

- M. Dubois, voyons! Il y a des gens qui on l'esprit sensible et qui vont écouter mon émission à la radio ! Je ne peux quand même pas leur faire entendre ça !!! Bon! il faut peut-être parler d'autre chose : vous avez sans doute bien un mauvais souvenir... racontez-le nous !

M. Dubois réfléchis pendant un moment, puis :

- Ah oui! C'était en 1919...

- Que s'est-il passé en 1919 ?

- Je me suis perdu dans la forêt...


On ne dira plus : Tu me montres ton cul ? Mais plutôt : Faudrait qu'on aille à la piscine un de ces 4.

On ne dira plus : T'as une sacrée bouche à pipes ! Mais plutôt : T'as vraiment un visage qui inspire confiance.

On ne dira plus : Waw tu pues du bec ! Mais plutôt : Tu veux un mentos ?

On ne dira plus : Tu refoules des pieds ! Mais plutôt : C'est en laine de quoi déjà tes chaussettes ?

On ne dira plus : Merde v'là l'autre grosse conne ! Mais plutôt : J'te fais pas la bise j'ai la crève.

On ne dira plus : Elles sont nazes tes blagues. Mais plutôt : Ah je sais pas comment tu fais pour les retenir.

On ne dira plus : Elle est ringarde ta veste ! Mais plutôt : Waouh, c'est tout à fait ton style.

On ne dira plus : Elles puent des pieds tes baskets ! Mais plutôt : Ça fait longtemps que tu les as ?

On ne dira plus : T'as de la morve sur la cravate. Mais plutôt : Même en costard, toi tu fais décontracté...

On ne dira plus : Brrrr ! ça caille chez toi. Mais plutôt : Waw, c'est trop cool, quand je parle ça fait de la fumée.

On ne dira plus : Ouah c'est le bordel chez toi ! Mais plutôt : J'arrive pas trop à l'improviste ?

On ne dira plus : Elle est nulle ta chanson ! Mais plutôt : Franchement la fin était hyper cool !

On ne dira plus : Alors, toujours puceau ? Mais plutôt : Woaw ! T'as le bras droit vachement musclé !

On ne dira plus : T'as une bite de nain ! Mais plutôt : C'est quoi au juste ton truc pour faire rire les femmes ?

On ne dira plus : T'es qu'une grosse vache ! Mais plutôt : J'suis sûr qu'en Inde, tu serais hyper respectée.

On ne dira plus : Rends-moi mes disques connard ! Mais plutôt : Et t'écoutes quoi en ce moment ?

 

Le Président du Tribunal : "Madame, voudriez-vous nous dire votre âge ?"

La Gentille Vieille Dame : "Bien sûr. J'ai 91 ans."

PdT : "Voulez-vous nous dire, sans vous contrarier, ce qui vous est arrivé ?"

GVD : "J'étais assise devant chez moi sous la tonnelle. C'était un soir de printemps, il faisait bon. Un jeune homme s'est approché furtivement et il est venu s'asseoir auprès de moi."

PdT : "Le connaissiez-vous ?"

GVD : "Non, mais je l'ai trouvé sympathique tout de suite."

PdT : "Qu'est-il arrivé ensuite ?"

GVD : "Il a commencé à me caresser la cuisse" .

PdT : "Et vous ne l'avez pas interrompu ?"

GVD : "Non, Monsieur le Juge."

PdT : "Pourquoi donc ?"

GVD : "Bien, c'était agréable. Personne ne m'avait fait ça depuis la mort de mon Grégoire, il y a trente ans de cela." 

PdT : "Et ensuite ?"

GVD : "Il a commencé à me caresser les seins."

PdT : "Vous lui avez demandé d'arrêter ?"

GVD : "Non, pas du tout."

PdT : "Pourquoi ça ?"

GVD : "Bien, Monsieur le Juge, ses caresses m'ont fait revivre. J'étais excitée, je ne m'étais pas sentie aussi bien depuis des lustres."

PdT : "Et ensuite ?"

GVD : "Bon, je me sentais tellement sexy que j'ai écarté mes vieilles jambes et que je lui ai dit "Prenez-moi, jeune homme ... Prenez-moi !"

PdT : "Qu'a-t-il fait alors ? Il vous a prise ?"

GVD : "Nom de Dieu que non ! Il s'est mis à gueuler "Poisson d'Avril" en ricanant comme un con et c'est là que je l'ai descendu ce petit enfoiré."

 

Pour amateurs de poker : Dolly Parton et Lady Di sont devant St Pierre dans l'espoir de passer l'éternité au paradis.

- Mesdemoiselles, laquelle de vous deux est la plus méritante pour rentrer au jardin d'Éden ?, demande Saint Pierre.

- Moi, lance Dolly, en ôtant son chemisier, et en offrant ainsi sa poitrine aux yeux de St Pierre.

Dieu sera sûrement très heureux d'avoir auprès de lui les seins les plus beaux de la création pour tous les jours de l'infini céleste.

Alors que Dolly achève Saint Pierre en se caressant les mamelons langoureusement, Lady di ouvre nonchalamment le frigo personnel du portier céleste, en sort une bouteille de Perrier, tout ça sans demander la permission. Curieux, St Pierre regarde la princesse. Elle secoue longuement la petite bouteille, soulève sa jupe et décapsule de façon à asperger sa vulve d'une douche fine et rafraîchissante.

- Lady Di au Paradis ! crie le Saint.

Dolly Parton n'en revient pas et demande une explication. Saint Pierre lui répond illico :

- Voyons Dolly, vous devriez savoir qu'un flush royal l'a toujours emporté sur une paire.

 

A Londres, un banquier de la City, très élégant avec chapeau melon,  parapluie canne et costume noir rencontre un punk avec les cheveux  rouges et verts à un arrêt de bus. Le vieux banquier regarde le punk avec dédain. Le punk lui demande :

 - Vous avez un problème ? A vous voir, je me doute que vous n'avez jamais rien fait d'excentrique de votre vie.

Le banquier le considère un instant :

 - A vrai dire jeune homme, si. Une fois j'ai enculé un perroquet et je me demandais justement si vous ne pourriez pas être mon fils.

 

Dans une école, la maîtresse pensa que les enfants apprendraient à cultiver une plante qu’ils offriraient pour la fête des mères. Elle donna donc à chaque élève un pot à fleur en porcelaine en forme de clown et une graine de cactus, plante qui ne nécessite pas beaucoup d’attention.

Hélas, au dernier moment, le directeur de l’école n’a pas autorisé les enfants à donner le cadeau préparé à leur maman.

Voici pourquoi :

PS : cette histoire est vraie!!!